Notre approche

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Nous voyons plutôt nos vignes comme des jardins, tellement il y a à faire à la main.

A la vigne, nous utilisons les préparations 500P (2 fois par an) et 501 (3 à 4 fois par an), et combinons à nos faibles doses de cuivre et de soufre, des décoctions de prêle, tisanes d’ortie, osier, reine des prés, camomille, achillée millefeuille…

Nous voyons plutôt nos vignes comme des jardins, tellement il y a à faire à la main.

A la vigne, nous utilisons les préparations 500P (2 fois par an) et 501 (3 à 4 fois par an), et combinons à nos faibles doses de cuivre et de soufre, des décoctions de prêle, tisanes d’ortie, osier, reine des prés, camomille, achillée millefeuille…

Nous voyons plutôt nos vignes comme des jardins, tellement il y a à faire à la main.

A la vigne, nous utilisons les préparations 500P (2 fois par an) et 501 (3 à 4 fois par an), et combinons à nos faibles doses de cuivre et de soufre, des décoctions de prêle, tisanes d’ortie, osier, reine des prés, camomille, achillée millefeuille…

Nous voyons plutôt nos vignes comme des jardins, tellement il y a à faire à la main.

A la vigne, nous utilisons les préparations 500P (2 fois par an) et 501 (3 à 4 fois par an), et combinons à nos faibles doses de cuivre et de soufre, des décoctions de prêle, tisanes d’ortie, osier, reine des prés, camomille, achillée millefeuille…

Nous voyons plutôt nos vignes comme des jardins, tellement il y a à faire à la main.

A la vigne, nous utilisons les préparations 500P (2 fois par an) et 501 (3 à 4 fois par an), et combinons à nos faibles doses de cuivre et de soufre, des décoctions de prêle, tisanes d’ortie, osier, reine des prés, camomille, achillée millefeuille…

Nous semons depuis 2018 des engrais verts un rang sur deux, et commençons un projet d’agroforesterie (plantation en 2019 de 50 arbres dans une vignes de 45 a) que nous souhaiterions généraliser à l’ensemble du domaine. Quand nous utilisons des machines, ce sont de plus petites, et moins énergivores que celle des autres gros producteurs. Il est important d’être respectueux lorsque vous travaillez en biodynamie.
 
A la vendange, les grappes sont récoltées à maturité et triées, de façon à ne rentrer des raisins qu’en parfait état sanitaire. Nous pressons les grappes dans un pressoir traditionnel coquard en séparant chaque cépage et chaque parcelle. A l’écoulage, nous ajoutons 2 gr de soufre, et c’est tout. Il peut arriver que nous en rajoutions sur des lots si l’acidité volatile monte, mais cela est très rare.

Nous semons depuis 2018 des engrais verts un rang sur deux, et commençons un projet d’agroforesterie (plantation en 2019 de 50 arbres dans une vignes de 45 a) que nous souhaiterions généraliser à l’ensemble du domaine. Quand nous utilisons des machines, ce sont de plus petites, et moins énergivores que celle des autres gros producteurs.
Il est important d’être respectueux lorsque vous travaillez en biodynamie.
 
A la vendange, les grappes sont récoltées à maturité et triées, de façon à ne rentrer des raisins qu’en parfait état sanitaire. Nous pressons les grappes dans un pressoir traditionnel coquard en séparant chaque cépage et chaque parcelle. A l’écoulage, nous ajoutons 2 gr de soufre, et c’est tout. Il peut arriver que nous en rajoutions sur des lots si l’acidité volatile monte, mais cela est très rare.

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Le jus repose 12 à 15 heures, est soutiré, et mis à fermenter avec un pied de cuve de levures indigènes. La fermentation malo-lactique s’enchaine ensuite spontanément.
Nous laissons les vins sur lies jusque mars-avril et nous mettons en bouteilles en général au mois de mai.
 
A aucun moment n’a lieu de collage, filtration, ou stabilisation tartrique, afin de laisser le vin s’exprimer librement.
 
Nous aimons expérimenter des vinifications, dans des contenants différents : cuves en inox, fûts, demi-muids, foudres, cuves et œuf en béton, œufs et jarres en grès céramique, amphores.
 
Ainsi, nous vinifions 60 % du volume dans des contenants inox, 25 % dans du bois, et 15 % dans le béton et l’argile.

Le jus repose 12 à 15 heures, est soutiré, et mis à fermenter avec un pied de cuve de levures indigènes. La fermentation malo-lactique s’enchaine ensuite spontanément. Nous laissons les vins sur lies jusque mars-avril et nous mettons en bouteilles en général au mois de mai.

A aucun moment n’a lieu de collage, filtration, ou stabilisation tartrique, afin de laisser le vin s’exprimer librement.

Nous aimons expérimenter des vinifications, dans des contenants différents : cuves en inox, fûts, demi-muids, foudres, cuves et œuf en béton, œufs et jarres en grès céramique, amphores.

Ainsi, nous vinifions 60 % du volume dans des contenants inox, 25 % dans du bois, et 15 % dans le béton et l’argile.

Chaque contenant donne un caractère différent au vin, renforçant selon nous la complexité et la fraîcheur de nos assemblages.

Chaque contenant donne un caractère différent au vin, renforçant selon nous la complexité et la fraîcheur de nos assemblages.

Chaque contenant donne un caractère différent au vin, renforçant selon nous la complexité et la fraîcheur de nos assemblages.

Chaque contenant donne un caractère différent au vin, renforçant selon nous la complexité et la fraîcheur de nos assemblages.

Alors nous n’utilisons pas d’énormes tracteurs qui tassent fortement le sol, et consomment beaucoup d’énergie, nous avons quatre vieux tracteurs mécaniques qui nous permettent de réaliser un travail plus délicat. Mais la plus grande différence est la main d’œuvre employée pour effectuer un travail de qualité.
 
Nous sommes sur le domaine à l’année quasiment une personne par hectare, nécessaire pour apporter le maximum d’attention à nos vignes. La plupart des travaux se faisant manuellement, pied après pied. Aussi, la plupart de nos vendangeurs sont des habitués, connaissent notre terroir et notre état d’esprit.
 
Les vendanges durent généralement dix à douze jours, avec une équipe de vingt personnes. Pour nous, c’est un moment sacré… un moment de partage et de convivialité.
Il est important que chacun mange et boive bien, ils ont ainsi l’envie de revenir chaque année!

Alors nous n’utilisons pas d’énormes tracteurs qui tassent fortement le sol, et consomment beaucoup d’énergie, nous avons quatre vieux tracteurs mécaniques qui nous permettent de réaliser un travail plus délicat. Mais la plus grande différence est la main d’œuvre employée pour effectuer un travail de qualité.
 
Nous sommes sur le domaine à l’année quasiment une personne par hectare, nécessaire pour apporter le maximum d’attention à nos vignes. La plupart des travaux se faisant manuellement, pied après pied. Aussi, la plupart de nos vendangeurs sont des habitués, connaissent notre terroir et notre état d’esprit.
 
Les vendanges durent généralement dix à douze jours, avec une équipe de vingt personnes. Pour nous, c’est un moment sacré… un moment de partage et de convivialité.
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43 Grande Rue, 02310 Crouttes-sur-Marne, France
Tel: +33 (0) 3 23 82 34 93 – contact@bourgeois-diaz.com

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